Le relâchement du cou est un signe souvent tardif du vieillissement du cou. Il peut être minime chez certaines patientes, modéré ou majeur pour certaines jusqu’à provoquer un véritable complexe. La zone du cou est sujette à de nombreuses variations esthétiques telles que le cou du dindon, le double menton, les cordes platysmales…
L’expression « cou de dindon » s’annonce lorsqu’un cou se fripe et se détend. Cela à cause de sa peau fine et délicate, le cou se froisse, se plisse et se relâche plus rapidement que le reste du visage.
De manière générale, la toxine botulique est utilisée en injection locale afin d’atténuer les rides d’expression et ainsi réduire l’aspect du “cou du dindon” en permettant de retendre le cou et de cesser de voir son visage s’affaiser.
Dans le cadre d’un rajeunissement du cou, l'injection de Botox permet de limiter la contraction musculaire du muscle peaucier responsable des « cordes » situées sous le menton (cou de dindon, fanons).
Lorsque les injections de botox ne suffisent pas pour retendre efficacement cette fine peau du cou, il est parfois nécessaire de faire appel à la chirurgie esthétique.
Il faut noter qu’en cas de relâchement cutané ou d’excès graisseux important, un lifting cervical ou cervico-facial sera plus approprié.
Le budget pour le traitement du cou à la toxine botulique commence à 600€. Une seule injection suffit généralement, mais il peut être nécessaire de procéder à une injection de complément en fonction de la réaction de la personne.
Le résultat du rajeunissement du cou est visible entre le 3ème et le 5ème jour, le résultat complet après 2 à 3 semaines.
Comme pour tout acte de médecine esthétique, le résultat d'un rajeunissement du cou sans chirurgie n’est pas définitif. Il est nécessaire de procéder à d’autres injections (entre 4 et 6 mois) pour faire perdurer le résultat souhaité
Posté dans Actualités, Visage le 24 avr 2017