UN PEU D'HISTOIRE AUTOUR DE LA BEAUTÉ

Ce que nous considérons de beau, ne sera peut être plus beau demain. Cette idée n’est pas nouvelle, puisque l’histoire en est le plus parfait exemple.

Les canons de beautés sont considérés comme belles selon la norme imposée à une certaine époque.

Ces canons suivent l’évolution de la mode et de l’époque. Au fil des siècles, ces derniers se sont succédés : formes généreuses de l’antiquité où la beauté est synonyme de bonté, face aux mannequins androgynes du XXIe siècle qui voit naître le «sex symbol ».

A la Renaissance, rondeur, teint blanc, taille longue, petites oreilles, petits pieds, dents courtes ainsi que joues rouges étaient de rigueur pour atteindre les normes. Dans les années 50, on découvre célébrités et stars de cinémas : Aux Etats-Unis, Marilyn Monroe est devenue une icône glamour.

Dans les années 70, dans un contexte de revendications féministes, le modèle androgyne était symbolisé par Twiggy ou Jane Birkin.

Dans les années 80, le corps doit être maîtrisé, modelé, mince et musclé. La femme doit être active et sportive, telles que Jane Fonda ou Davina. A la fin des années 80, on redécouvre l’alliance du corps et de l’esprit.

En 2010, les femmes sont grandes, minces voir androgynes et leur peau est joliment halée…

Aujourd’hui ? Plus encore que l'âge, c'est le relâchement qui est combattu, et avec une vigueur déconcertante. Ce qui conduit les patients n'est pas forcément le désir de paraître jeune, mais ferme, l’air en forme grâce à la médecine esthétique

Posté dans Actualités le 25 oct 2020