Ce n’est pas l’âge du patient mais la zone de l’injection qui va avoir son importance ainsi que les quantités injectées.
Ainsi, je vais pouvoir proposer à une femme de 30 ans, qui présente des cernes marquées, des produits parfaitement identiques à ceux proposés à son homologue de 60 ans, mais il est probable que le volume injecté chez une femme jeune, à un stade mixant prévention/correction, sera bien plus limité.
Des protocoles incluant « skinboosters » et acides hyaluroniques en petite quantité, sont décrits quelquefois dès 20 ans, de façon espacée.
Il faudra garder à l’esprit l’absolu nécessité, quand on s’adresse à une jeune patientèle, de la sécurité des produits et des techniques.
Posté dans Actualités, Visage le 06 mar 2019